A un ami poète, qui me fit craindre en quelques vers de lâcher la branche, je me suis autorisé à écrire :
Lorsque parfois je me désespère
Lorsque le spleen me prend
Je pense alors à mes pairs
À la manière de Talleyrand:
Si lorsque je me regarde je me désole
Lorsque je me compare, je me console…